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Lancement de la Semaine de la mère et du nouveau-né pour aborder la santé maternell...

Kinshasa, le 6 novembre 2023 – Sous le haut patronage de la Distinguée Première Dame de la République démocratique du Congo, le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention organise la Semaine de la Mère et du Nouveau-né à Kinshasa du 6 au 10 novembre 2023. Cet événement important est organisé avec l'appui technique du Programme National de Santé de la Reproduction (PNSR) et des agences onusiennes réunies autour de l’initiative H6+ pour la lutte contre les décès maternels. Il s’agit de UNFPA, ONU Femmes, UNICEF, OMS, ONUSIDA et la Banque Mondiale.

Sénégal : recours aux outils de l’épidémiologie pour prévenir les décès maternels

Dakar – « En tant que sage-femme de métier, je ne suis pas d’accord avec l’adage qui dit qu’être enceinte c’est mettre un pied dans la tombe », confie Aïssatou Lô, coordonnatrice de la santé de la reproduction au district sanitaire de Kolda. « Donner la vie est un bonheur et doit pouvoir être vécu sans crainte. Malheureusement quelquefois nous assistons impuissantes à ces décès maternels. »

𝗟'𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗼𝘀𝗲 𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝗮𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗯𝗶𝗼𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗰𝗮𝘂𝘅 

Le Bénin a accueilli le 24 octobre 2024, les Premières Journées Biomédicales du Réseau des Hôpitaux d’Afrique, de l’Océan indien et des Caraïbes (RESHAOC). Cette importante assise internationale porte à la réflexion collective des scientifiques présents, l’épineuse question de la gestion et de la maintenance des équipements biomédicaux dans les établissements de santé africains. Les experts de l’hôpital se sont donnés rendez-vous afin de mener des réflexions sur un modèle qui priorise la qualité et la durabilité des équipements biomédicaux. Venus de tous les coins de la planète, ils s’accordent à trouver à Cotonou, un contenu actionnable au défi lié à la gestion des équipements hospitaliers ainsi qu’à leur maintenance.

L’OMS prend le flambeau de chef de file des partenaires techniques et financiers de ...

« Ensemble, nous allons relever les défis pour un appui efficace et coordonné ; et des interventions à haut impact qui s’alignent sur les priorités du pays au bénéfice de la population nigérienne» a déclaré Dr Blanche Anya, Représentante de l’Organisation mondiale de la Santé au Niger le 05 octobre 2023 à Niamey, lors de la passation de fonction de chef de file des Partenaires techniques et Financiers (PTF) de la santé entre le Fond des Nations Unies pour la Population (UNFPA) et l’OMS qui assurera pour les 3 prochaines années la coordination de cette plateforme.

Les leaders du secteur de la santé de la région Afrique, discutent des actions néces...

Abidjan a abrité du 31 octobre au 03 novembre 2023, le Forum régional sur le Financement des Soins de Santé Primaires (SSP). Ce forum qui a réuni plus de 200 hauts fonctionnaires des ministères de la Santé, des finances et du budget de 24 pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, des partenaires du développement de la santé, des organisations de la société civile et des institutions régionales et mondiales soutenant la région, vise à définir des actions concrètes pour la révision et l’amélioration des politiques et le financement des SSP, afin d’accélérer et de promouvoir la Couverture Sanitaire Universelle.

Les relais communautaires formés par l'OMS contribuent à l'amélioration de l'accès a...

Saidou Habibou, relais communautaire, intervient dans le camp de Garin Kaka, dans la région de Maradi. Il fait partie des cinquante relais communautaires formés par l’Organisation mondiale de la Santé sur la notification des alertes, le suivi des maladies évitables par la vaccination et la promotion du programme élargi de vaccination(PEV).  ​​​​​​​Le camp des réfugiés de Garin Kaka, où intervient Saidou Habibou, est un des trois camps de la région de Maradi. Il compte une population de plus de 14 208 personnes dont 2 775 enfants de moins de 5 ans et 3079 femmes en âge de procréer. Il dispose d’un centre de santé de Type 2 (CSI de type 2) tenu par 9 agents de santé et 10 relais communautaires.

Lutte contre la poliomyélite : progrès dans la Surveillance environnementale au Nige...

Bachir (nom d’emprunt), technicien d’hygiène et assainissement arrive avant l’aube au niveau de la canalisation de Gao Barki, à Maradi Ville, pour prélever des échantillons d’eaux usées et les analyser. Sous la supervision de l’OMS, le prélèvement et analyse systématique d’échantillons d’eaux usées fait partie de la surveillance environnementale qui complète la surveillance de la Paralysie flasque aigue (PFA) en fournissant des informations sur la présence ou non de la transmission du poliovirus au Niger. Les échantillons prélevés sont envoyés au laboratoire régional pour la recherche du poliovirus et d’autres entérobactéries. "Le but de la surveillance environnementale est d’identifier toute transmission de poliovirus qui pourrait se produire en l’absence de détection de cas de PFA" précise l’Organisation mondiale de la Santé sur son siteweb.

Les hommages de la Première Dame, Dominique Ouattara, au Dr Jean-Marie Yameogo

Pour l’avoir sollicitée pour être la marraine de la célébration du 75e anniversaire de l’OMS en Côte d’Ivoire, le Dr Jean Marie Vianny YAMEOGO a tenu à s’acquitter d’un devoir de reconnaissance et d’affection envers la Première Dame Dominique Ouattara, au moment de quitter la Côte d’Ivoire.

Soutenir les vainqueurs d’Ebola à mieux surmonter la stigmatisation dans l’Est de la...

Depuis 2018, la région du grand nord (Province du Nord-Kivu), dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), a été le foyer de quatre épidémies de la maladie à virus Ebola, touchant notamment plusieurs zones de santé de Beni, Biena et Butembo, avec un millier de personnes ayant survécu à la maladie. Il y a cinq ans, Mwamini Kavugho, habitante de Beni avait vaincu la terrible maladie, après une prise en charge au Centre de traitement Ebola, au grand soulagement de sa famille et de sa communauté. Infirmière dans un établissement de santé de Beni pendant une dizaine d’années, cette héroïne méconnue fait partie d’un millier d’autres survivants qui tentent désormais de surmonter la détresse psychosociale, en plus de la difficulté pour trouver du travail ou des sources de revenus. "Depuis ma guérison d’Ebola fin octobre 2018, je n’ai plus retrouvé mon travail dans la clinique pédiatrique où je prestais auparavant, en dépit du soutien que nous avions bénéficié du programme de suivi dédié aux vainqueurs d’Ebola", raconte Mwamini, 43 ans, mère de deux enfants.