Amourj – Dans le désert étendu du Hodh El Chargui, là où les frontières deviennent floues entre l’exil et l’espoir, l’impact silencieux des crises humanitaires laisse des cicatrices invisibles et profondes. Si les réfugiés Maliens, les retournés et les communautés hôtes affrontent les défis visibles des maladies et du manque d’accès aux soins, ils doivent aussi composer avec une douleur moins perceptible : la détresse psychologique.