Feature Stories

Au Mozambique, presque tous les adultes sont vaccinés contre la COVID-19

“I came to take the COVID-19 booster dose and brought my baby for (childhood routine) immunization,” says Cacilda Manjate, a young mother waiting in a consulting room of the Matola II clinic just outside Mozambique’s capital Maputo. “For me taking the vaccine is important because I have a relative who died of COVID-19. I don’t want to lose anyone else in the family.”

Au Congo, le séquençage génomique de la COVID-19 au service de la lutte contre d’aut...

« Grâce au séquençage génomique, les autorités sont informées quasi immédiatement de la circulation de variants de la COVID-19 dans le pays », explique la professeure Francine Ntoumi, présidente de la Fondation congolaise pour la recherche médicale (FCRM), basée dans la capitale Brazzaville. « Désormais, nous voulons utiliser ces capacités de séquençage pour surveiller d’autres pathologies. »

Un engagement de longue date pour sauver des vies

Kigali – Chaque année, la Journée mondiale du donneur de sang est célébrée le 14 juin. C’est l’occasion de sensibiliser le public à la contribution essentielle des donneurs de sang volontaires et bénévoles pour booster les services nationaux de transfusion sanguine et sauver des vies. Le thème de cette année, « Donner son sang : un acte de solidarité. Rejoignez le mouvement et sauvez des vies ! », a été entendu par Alphonse, un donneur de sang régulier au Centre national de transfusion sanguine de Kigali, la capitale du Rwanda.

Le don de sang, un héritage de mère en fille

Ouagadougou - Ramatou Sinaré se prépare à se rendre au Centre national de transfusion sanguine de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. La trentaine, elle est donneuse depuis bientôt 20 ans. « Dès l’âge de 18 ans, j’ai décidé de devenir donneuse de sang, en prenant l’exemple sur ma mère. Il m’arrivait de l’accompagner, j’admirais sa générosité, je voulais faire comme elle », explique Ramatou. C’est son deuxième don de sang depuis le début de l’année.

Le Sénégal en quête d’une certification internationale pour son équipe médicale d’ur...

Thiès – Dans le bloc opératoire, le bip régulier des machines confirme la bonne nouvelle : la patiente, testée positive à la COVID-19 et qui vient de subir une césarienne en urgence, va bien. Tout le monde peut souffler, l’exercice de simulation est un succès. La fausse patiente se redresse, le médecin fait le point avec l’assemblée, les observateurs rangent leurs formulaires d’évaluation.