Feature Stories

Le Sénégal engage la bataille contre les dépenses catastrophiques de santé

Dakar – Moctar*, 56 ans vit en banlieue dakaroise, il fait partie des 18 941 ménages sénégalais qui supportent le poids de ce qui est communément appelé les dépenses catastrophiques de santé. « Je suis marié et j’ai quatre enfants. Durant les trois dernières années, j’ai dépensé en moyenne 150 000 FCFA par an pour les besoins en santé de ma famille, cela représente environ un quart de mes revenus », dit Moctar soulignant que ces dépenses sont un peu réduites car il est inscrit au sein d’une mutuelle de santé.

Éliminer l’hépatite

When Jean Paul Nduwumwe decided to have a hepatitis test while accompanying his pregnant wife on a clinic visit, he had no idea that following a positive result and three months of treatment his health and well-being would be restored, and he would feel “reborn”.

Lutter contre les maladies non transmissibles

Pendant quatre mois, Stella Fikiri a subi divers tests dans plusieurs cliniques privées, avant d’être finalement diagnostiquée diabétique au centre de santé public Magomeni de Kinondoni, un district de la capitale  de la Tanzanie, Dar-es-Salaam. Maintenant, elle se rend à l’hôpital pour des contrôles tous les deux mois, ce qui a permis de réduire sa glycémie de 9,1 à 7,1 en seulement huit semaines.

Succès des contraceptifs auto-injectables

« Mon mari n’était pas d’accord pour la contraception », se rappelle Aïssa*. À 37 ans, elle a accouché de triplets quelques mois plus tôt, alors qu’elle a déjà la charge de quatre autres enfants dont la plus jeune est à peine âgée de deux ans. « Depuis que nous avons eu les triplets, les charges financières ont tellement augmenté que ça a été moins compliqué de le convaincre »

Aux Comores, tous les enfants nés de mère séropositive sont séronégatifs

Nadja* a appris sa séropositivité il y a deux ans, alors qu’elle préparait son mariage. Huit mois après les noces, la jeune dame tombe enceinte. « Je craignais pour le bébé. Il n’avait rien fait mais il risquait quand même, par ma faute, de naître séropositif. Cette idée me rendait de plus en plus inquiète », poursuit la trentenaire.

Lutter contre les maladies chroniques

Teresa Ramos de Carvalho a vu son long combat contre l’hypertension et le diabète prendre un tournant positif depuis qu’elle a commencé à consulter régulièrement et à recevoir gratuitement ses médicaments au centre de santé de sa localité à São Domingos, une région du centre de Cabo Verde.

Protéger chaque enfant contre le poliovirus

Dans le village éloigné de Bororo-Kambari au Nigéria, la petite Fati Isah, 5 ans, patiente dans la file avec ses deux frères et sœurs, ainsi que d’autres enfants de leur âge, pour être vaccinés contre la poliomyélite. « Ma mère dit que la vaccination est importante et que nous devrions être vaccinés », dit-elle fièrement.