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Sur fond de confinements en Afrique, l'OMS lance une formation en ligne pour les act...

Alors que le déploiement de personnel pour appuyer les pays devient impossible en raison des restrictions de voyage et des confinements mises en place par plusieurs pays africains pour arrêter la propagation du COVID-19, le Bureau régional de l'Organisation mondiale de la Santé pour l’Afrique (OMS/AFRO) a lancé aujourd'hui le premier cours en ligne à l’intention des intervenants dans les urgences pour renforcer les efforts de lutte contre le virus.

L'OMS en Afrique organise le premier « hackathon » du COVID-19

Le Bureau régional de l'Organisation mondiale de la Santé pour l'Afrique (OMS/AFRO) a organisé son premier « hackathon » virtuel, qui a rassemblé 100 innovateurs de premier plan de toute l'Afrique subsaharienne dans le but de trouver des solutions locales créatives à la pandémie du COVID-19 et de combler les graves lacunes de la réponse régionale.

Le laboratoire, au cœur de la réponse au COVID-19

Dans les efforts de réponse à l’épidémie du coronavirus, la détection adéquate des cas à travers les laboratoires est centrale pour une prise en charge appropriée. En Algérie, le laboratoire de l’Institut Pasteur d’Alger (IPA) est celui en charge du dépistage de tous les cas de maladies infectieuses telles que le coronavirus.

Les équipes d'intervention rapide se battent contre la propagation du COVID-19 en Af...

Lorsque le gouvernement kenyan a annoncé le premier cas de COVID-19 dans le pays, Jackson Njoroge, un clinicien, était déjà au travail. Lui et ses collègues de l’équipe d’intervention rapide du ministère de la Santé du Kenya avaient déjà dressé une liste de personnes qui auraient pu entrer en contact avec le premier patient. Maintenant, le moment était venu de se précipiter pour les retrouver. Sa mission était de trouver un autre passager du vol qui avait amené le premier cas au Kenya. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) avait déjà aidé à former 1 500 agents de santé kenyans dans divers établissements de santé pour se préparer à cette situation. Avec cette annonce, le gouvernement du pays et le bureau de l’OMS sont passés du mode de préparation au mode de réponse.

Un numéro vert pour parler du coronavirus et rassurer 

Un maillon clé de l’efficacité de la réponse à l’épidémie du coronavirus est la mise à disposition d’informations essentielles en temps réel pour rassurer la population et permettre de rapidement notifier tout cas suspects. Le 26 février 2020, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a mis en place un numéro vert 3030 joignable sans frais par téléphone fixe et mobile, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Fin du suivi des derniers contacts Ebola

La période d'observation des dernières personnes ayant été en contact avec une patiente atteinte d'Ebola en République démocratique du Congo s'est terminée, ce qui constitue une nouvelle étape importante dans les efforts visant à mettre fin à l'épidémie. Le suivi de 21 jours pour les 46 contacts s'est écoulé le 10 mars. 

Des agents de santé communautaires Ebola formés pour l'avenir

Dans une petite commune de maisons en terre battue et d'acacia à Beni, Rose Amboko entre dans un jardin familial, un thermomètre flash à la main. Dans ce dernier point chaud d'Ebola en République démocratique du Congo (RDC), la méfiance et la suspicion ont été des facteurs majeurs de prolongation de l'épidémie. Mais ici, Mme Ambolo, 25 ans, est accueillie comme une amie, pendant qu'elle vient surveiller des contacts proches d'un patient atteint d'Ebola, pour s'assurer qu'ils étaient en bonne santé. Deux femmes pilaient des feuilles de manioc tout en plaisantant avec elle pendant que Rose prenait la température de chaque personne, et comme elle les appelait chacun par son nom, des enfants venaient en courant pour participer à ce qu'ils prenaient comme un jeu.

Réduire le risque d'Ebola par l'isolement volontaire

l'épicentre de l'épidémie d'Ebola, dans la ville de Beni au Nord-Kivu, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le ministère de la Santé de la République démocratique du Congo ont adopté une stratégie utilisée autrefois lors de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest pour simplifier le travail essentiel de surveillance des contacts des patients.

Apprendre la langue locale sauve des vies en République démocratique du Congo 

Passionné par son travail d'engagement auprès des communautés touchées par le virus Ebola, l'anthropologue guinéen David Niabalamou a appris à parler deux nouvelles langues en douze mois, ce qui lui a valu le surnom affectueux de ‘David le local’ de la part de ses collègues. Ayant travaillé sur la réponse à Ebola dans sa Guinée natale de 2014 à 2016, Niabalamou était parfaitement conscient que la langue est essentielle pour gagner la confiance des populations.

Cancer du col de l'utérus : une meilleure accessibilité améliore le dépistage à Mada...

Elle attendait avec impatience sa visite médicale à la clinique. Une minute à peine après avoir été examinée, Gisèle* a reçu le résultat de son test de dépistage du cancer du col de l'utérus. Jusqu'à 8000 femmes sont testées chaque année, principalement à travers un programme de dépistage communautaire à Madagascar, où le cancer du col de l'utérus est le type de cancer le plus mortel chez les femmes.