« Grâce au séquençage génomique, les autorités sont informées quasi immédiatement de la circulation de variants de la COVID-19 dans le pays », explique la professeure Francine Ntoumi, présidente de la Fondation congolaise pour la recherche médicale (FCRM), basée dans la capitale Brazzaville. « Désormais, nous voulons utiliser ces capacités de séquençage pour surveiller d’autres pathologies. »