Le tabac est un poison dont on peut se débarrasser à force de volonté et de discipli...

Bujumbura, 7h 06min ce 25 mai 2023. A peine monté dans le taxi que le chauffeur Edouard Ndihokubwayo me présente ses excuses pour l’odeur de la fumée de cigarette qui y fuse. « Je suis désolé pour le désagrément que pourrait vous causer cette odeur. Je viens juste de fumer une clope », s’en presse-t-il de me dire un tantinet gêné. Agé de 48 ans, Edouard fume depuis près de 30 ans. « Je sais que ce n’est pas bon pour la santé de fumer. A maintes reprises, j’ai tenté d’arrêter mais je n’y arrive pas. Pourtant la cigarette ne me fait aucun bien.

Promouvoir les soins de santé primaires pour tendre vers la couverture sanitaire uni...

Vêtu de sa blouse de travail, Janvier NAHAYO, la quarantaine, s’est positionné devant l’entrée du Centre médical communautaire (CMC) de Buyenzi où il officie en qualité de technicien de promotion de la santé (TPS). Il oriente chaque patient (te) qui arrive en consultation vers le point de lavage des mains du centre de santé afin qu’il se lave les mains avant d’être reçu par l’agent de santé. « Nous veillons à ce que tout patient qui entre dans ce centre se lave d’abord les mains avant de passer à la salle de consultation.

Semaine Africaine de la vaccination (SAV) 2023 : Sous le signe du « GRAND RATTRAPAG...

« J’avais 9 mois quand j’ai contracté la poliomyélite. Elle a commencé par des diarrhées un beau matin et le soir même, mes jambes étaient devenues flasques. Ce fût un choc pour mes parents et surtout ma mère qui a tout de suite compris ce qui m’arrivait. A cette époque, beaucoup d’enfants de mon âge souffraient de la même symptomatologie et nous n’étions pas vaccinés contre la polio, faute de disponibilité de vaccins. Le pays était en épidémie », se remémore Elodie* N. la quarantaine révolue, aujourd’hui cadre de son état et en parfaite santé.

Collaboration entre l’OMS et Organisations non étatiques : Un partenariat pour l’amé...

Dans le cadre de la mise en œuvre de son programme de travail, l’OMS doit collaborer avec les acteurs non étatiques. Ceci est clairement indiqué dans le 13ème programme général de travail (2019 – 2023) : « L’OMS est, et restera, une organisation constituée d’états membres, mais les acteurs non étatiques font également partie des conceptions actuelles de la Gouvernance Mondiale ». Il s’agit des ONG, d’associations, de fondations, etc. qui collaborent avec l’OMS de manière durable et systématique en servant les intérêts de l’organisation.

Réduction de mortalité maternelle et néonatale au Burundi : L’OMS contribue au renfo...

« J’apprécie cette activité qui nous montre combien notre profession de sage-femme est devenue importante pour les autorités de nos pays qui initient ces formations à notre intention en vue de renforcer nos capacités professionnelles. Par exemple cette formation de Ngozi m’a permis de savoir comment bien mener une délivrance artificielle à une parturiente en difficulté », témoigne Dame Gaudence Nshimirimana, sage-femme volontaire au centre de santé Ami des jeunes de Maramvya, mairie de Bujumbura.