Feature Stories

Élargir l’accès aux soins de l’hypertension au Burkina Faso

Ouagadougou – Adama Domdasse pouvait à peine marcher. Son côté gauche était paralysé, et il devait s’appuyer sur une canne pour se déplacer. « Grâce au soutien et au traitement que j’ai reçu pour gérer l’hypertension, je peux désormais marcher sans assistance. Je peux même parcourir plusieurs kilomètres à vélo », dit-il.

Les centres de santé communautaires, piliers de la lutte contre les maladies non tra...

Tingolé – « J’avais des vertiges, des maux de tête et j’étais très stressé », se souvient Adama Thiero, 63 ans, enseignant à Tingolé, à une centaine de kilomètres de Bamako. Diagnostiqué de l’hypertension artérielle en 2010, Adama suivait un traitement qui ne lui donnait pas une totale satisfaction et empiétait sur son travail. « Je prenais régulièrement des médicaments mais je n’allais pas bien comme je le voulais. Mon état de santé impactait mon travail et souvent, je venais en retard en classe. »

Le paiement mobile renforce l’efficacité des campagnes de vaccination en RDC

Kinshasa – En 2020, le Bureau régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique a fait preuve d’innovation en introduisant les systèmes de transfert d’argent mobile dans la mise en œuvre de l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite (IMEP).

Pilotée dans trois pays au départ, la RDC, où l’initiative connait un succès, a rejoint le trio dans le dernier trimestre de 2020. Avec la mise en place de ce mode de paiement, les campagnes de vaccination réalisent de meilleures couvertures. 

Soigner les blessés de guerre dans l'est du Tchad

Adossé au mur dans un couloir du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Abéché, à près 900 km à l’est de la capitale tchadienne N’Djamena, le docteur Sassil Daré prend quelques minutes pour souffler. Il est 15 heures et il a déjà opéré trois patients.

Le Sénégal engage la bataille contre les dépenses catastrophiques de santé

Dakar – Moctar*, 56 ans vit en banlieue dakaroise, il fait partie des 18 941 ménages sénégalais qui supportent le poids de ce qui est communément appelé les dépenses catastrophiques de santé. « Je suis marié et j’ai quatre enfants. Durant les trois dernières années, j’ai dépensé en moyenne 150 000 FCFA par an pour les besoins en santé de ma famille, cela représente environ un quart de mes revenus », dit Moctar soulignant que ces dépenses sont un peu réduites car il est inscrit au sein d’une mutuelle de santé.

Lutter contre les maladies non transmissibles

Pendant quatre mois, Stella Fikiri a subi divers tests dans plusieurs cliniques privées, avant d’être finalement diagnostiquée diabétique au centre de santé public Magomeni de Kinondoni, un district de la capitale  de la Tanzanie, Dar-es-Salaam. Maintenant, elle se rend à l’hôpital pour des contrôles tous les deux mois, ce qui a permis de réduire sa glycémie de 9,1 à 7,1 en seulement huit semaines.

Éliminer l’hépatite

When Jean Paul Nduwumwe decided to have a hepatitis test while accompanying his pregnant wife on a clinic visit, he had no idea that following a positive result and three months of treatment his health and well-being would be restored, and he would feel “reborn”.

Succès des contraceptifs auto-injectables

« Mon mari n’était pas d’accord pour la contraception », se rappelle Aïssa*. À 37 ans, elle a accouché de triplets quelques mois plus tôt, alors qu’elle a déjà la charge de quatre autres enfants dont la plus jeune est à peine âgée de deux ans. « Depuis que nous avons eu les triplets, les charges financières ont tellement augmenté que ça a été moins compliqué de le convaincre »